Comité des fêtes

Le Comité des Fêtes est à l’initiative chaque année de trois manifestations : 

  • la Sarceyroise, randonnée pédestre qui a lieu le dernier dimanche de février.  Elle est organisée avec le soutien de l’association des artisans commerçants;
  • la vogue de la Saint Jean, le troisième week-end de juin. Après plusieurs années de fête du Foin, la fête du village prendra cette année une nouvelle forme avec toujours le soutien d’autres associations du village; 
  • le défilé des Lumières agrémenté d’un spectacle jeune public à l’occasion du 8 décembre.

Le programme détaillé des manifestations apparaîtra régulièrement sur le site.

Contact:
sarcey.fetes@gmail.com
Ghislaine CARRIER : 04.74.72.49.82

ADR-CATM, St Germain-Nuelles, Sarcey

C’est en novembre 1982 (déclaration en Préfecture) que naît l’«Association des anciens combattants prisonniers de guerre et combattants d’Algérie, Tunisie, Maroc des communes de Nuelles, St Germain, Sarcey » qui établit son siège social en mairie de SARCEY. 
Elle a pour objet la défense les intérêts de tous les combattants de 39/45 ainsi que ceux d’Afrique du Nord de 1952 à 1962. Elle s’appuie alors sur l’engagement de Jean MULATON, (1er président), Jean VARINARD, Joseph DALIN, et Jean VIVIER auxquels se joindra Anne-Marie PERRAS en 2004. 
Aujourd’hui, l’association a changé de dénomination pour devenir l’ « ADR–CATM St Germain, Nuelles, Sarcey ». Son bureau est constitué de : 
– Président : Jean VARINARD 
– Vice-président : Jean VIVIER 
– Secrétaire : Gérard GIRIN 
– Trésorier : Joseph DALIN 
Cette Association est rattachée au canton de L’Arbresle dont le président cantonal est Paul CORMORECHE, habitant SAVIGNY. 

L’Association, dont le nombre de membres diminue de plus en plus, s’oblige à créer au cours de l’année différents divertissements tels que : fritures, concours de belote, « challenges du Barbelé » et à rendre visite aux combattants les plus fatigués ou à leurs veuves pour maintenir l’esprit de camaraderie. 
De plus, les 8 mai, 11 novembre et 5 décembre donnent lieu à des manifestations aux monuments aux morts des 3 communes afin de rappeler les disparus des guerres de 1914/1918, 1939/1945, 1952/1962.

Contact:
Jean VARINARD: 04.74.26.86.66

Bibliothèque

Bien installée au rez-de-chaussée de la Maison des associations, la bibliothèque met à votre disposition pas loin de 2000 ouvrages dans les domaines les plus variés : romans (bien sûr), policiers, patrimoine, récits vécus, biographies, jeunesse, ouvrages d’art ou de voyages…….!

La cotisation est de 10€ par famille, pour l’année (de septembre à août). La bibliothèque est ouverte:

    • le mercredi de 16h30 à 18h30 (du 01/11 au 31/03) / de 17h00 à 19h00 (du 01/04 au 31/10),
    • le samedi de 10h00 à 11h30

C’est toujours avec beaucoup de plaisir que nous accueillons de nouveaux adhérents pour partager avec eux le bonheur de la lecture. 
A bientôt !

Contacts:
Janine APPRIOU: 04.74.26.84.39 / famillap@wanadoo.fr
Éliane MONNERY: 04.74.26.88.11 / alain.eliane.monnery@wanadoo.fr

Les Z’arts c’est roi

“Les Z’arts c’est roi” propose des cours de peinture, dispensés par Elyane COQUARD (depuis maintenant 10 ans), qui vous initiera à cet art, et vous prodiguera ses bons conseils. 
Il n’y a pas de modèle imposé, chacun peint ce qu’il a envie…  et il y a une exposition tous les 2 ans déclinant un thème (on fait un tableau sur ce thème uniquement si l’on en a envie).

  • Cours adultes : 
    le lundi de 16h30 à 18h30 et de 18h30 à 20h30 à la Maison des associations.
  • Cours enfants : 
    le mercredi de 15h45 à 17h45 à la Maison des associations. 
    Les enfants sont acceptés à partir de 5 ans. Il n’y a pas de cours pour les enfants pendant les vacances scolaires.
  • Tarif annuel : (possibilité de paiement en 1, 2 ou 3 fois) 
    • 175 € pour les enfants
    • 195 € pour les adultes

Contact:
Delphine LESCURE: 04.26.65.18.28 ou 06.37.87.38.37

Lutte contre le frelon asiatique

Le frelon asiatique (Vespa velutina) a été introduit accidentellement en France. Depuis sa découverte en 2004 en Lot-et-Garonne, il s’est étendu sur une grande partie de l’hexagone, en particulier sur la façade atlantique. En 2015 et 2016, le climat lui a été très favorable, ce qui lui a permis de coloniser de nouvelles zones géographiques et de se développer. Il est aujourd’hui présent sur la quasi-totalité du territoire français.

Le frelon asiatique est plus grand que la guêpe (1,5 cm) et plus petit que le frelon européen (4 cm max). Il se différencie notamment de ce dernier par sa tête et son abdomen de couleur noire et l’extrémité de ses pattes de couleur jaune.

Il est source de difficultés du fait de sa présence aussi bien dans les zones urbanisées que rurales mais également d’un point de vue environnemental, par la prédation qu’il exerce sur certaines espèces et notamment l’abeille domestique.

Le dispositif de surveillance régionale

Aucun dispositif de piégeage sélectif et efficace n’ayant encore été mis au point, la lutte consiste principalement à repérer et détruire les nids. Elle contribue ainsi à maintenir la population de frelons asiatiques à un niveau acceptable et à garantir la sécurité des populations.

Un dispositif régional de surveillance et de lutte, assuré conjointement par l’Organisme à vocation sanitaire animal et végétal (FRGDS et FREDON) a été mis en place et décliné au niveau départemental. A ce titre, toute personne suspectant la présence d’un frelon asiatique sur une zone est invitée à en faire le signalement, avec une photo de l’insecte ou du nid au :

  • GDS 69 : 04.78.19.60.60 / gds69@gds69.asso.fr
  • FREDON : 04.37.43.40.70 / frelonasiatique@fredonra.com

    Pour la destruction d’un nid de guêpes, merci de contacter un désinsectiseur professionnel.

En savoir plus:

– [Site du FREDON Rhône-Alpes->www.fredonra.com]

L’aide à la mobilité individuelle (AMI) du Pays de L’Arbresle

A télécharger : règlement et dossier d’inscription

La Communauté de communes du Pays de L’Arbresle propose un nouveau service de transport public routier de personnes, à mi-chemin entre les transports réguliers et la course individuelle: le service AMI (Aide à la Mobilité Individuelle).

Conditions

Ce service est destiné aux populations les plus fragiles et accessible uniquement aux usagers :

– habitant dans une des communes de la Communauté de communes,

– âgés d’au moins 14 ans (exclusion des déplacements scolaires du dispositif)

– faisant partie d’une des catégories suivantes :

  • Personnes en difficulté d’insertion, en recherche d’emploi, en formation.
  • Personnes confrontées à des problèmes de logement, de santé, en situation de handicap ou de mobilité réduite.
  • Personnes en situation d’isolement sans possibilité de se déplacer vers les services administratifs, culturels, sportifs, commerciaux ou médicaux.

Toute personne souhaitant utiliser ce service devra retirer au préalable un dossier d’inscription pour instruction par les services de la Communauté de communes.

Fonctionnement

Le service est basé sur un fonctionnement de porte à point de dépose fixé par la Communauté de communes et les communes pour un trajet d’au moins 1 kilomètre.

Il ne permet pas de se déplacer sur des communes hors du Pays de L’ARBRESLE.

Le service AMI est assuré du lundi au samedi de 7h à 19 h. Il ne fonctionne pas le dimanche et les jours fériés.
Tout déplacement doit être réservé au moins l’avant-veille (soit 48h), avant 14h auprès de la centrale de réservation.

Le nombre de trajet est limité à 1 aller/retour par jour et à 20 allers/retours par mois. Le ticket à l’unité est de 2€ (1,6€ par carnet de 10) et les tickets sont en vente dans les mairies et à la Communauté de communes.

Pour toute information

Communauté de Communes du Pays de L’Arbresle – SPANC

117 rue Pierre Passemard 69592 L’ARBRESLE cedex

Tél : 04.74.01.68.90 / Fax : 04.74.01.52.16

Courriel : ami@paysdelarbresle.fr

Site web : CCPA – AMI

Lutte contre le moustique tigre

L’Aedes albopictus, plus connu sous le nom de “moustique tigre”, fait l’objet d’une surveillance particulière dans le cadre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue.

Le moustique Aedes Albopictus dit « moustique tigre »

Le moustique Aedes albopictus , originaire d’Asie, se distingue des autres moustiques par sa coloration contrastée noire et blanche d’où son appellation commune de « moustique tigre ».

Il s’est développé de manière significative et continue depuis 2004 en métropole où il est désormais présent dans 20 départements. Depuis 2012, il s’est progressivement implanté dans 5 départements (Ardèche, Drôme, Isère, Rhône et Savoie) de la région Rhône-Alpes.

Ce moustique de très petite taille est particulièrement nuisible : ses piqûres interviennent principalement à l’extérieur des habitations, pendant la journée, avec un pic d’agressivité à la levée du jour et au crépuscule.
Il peut également être « vecteur » de la dengue et du chikungunya si, et seulement si, il est contaminé. Il s’infecte en piquant une personne malade qui revient d’un voyage dans un pays où ces maladies sont présentes, et devient ainsi capable de transmettre la maladie dans le proche voisinage en piquant ensuite des personnes saines.

Prévention : le moustique qui vous pique est né chez vous !

Le moustique tigre se développe surtout en zone urbaine, dans de petites quantités d’eau, et se déplace peu au cours de sa vie (100 mètres autour de son lieu de naissance).
Comment éviter la prolifération des moustiques ?

Les produits anti-moustiques (insecticides et répulsifs) ne permettant pas d’éliminer durablement les moustiques, il est nécessaire de limiter leurs lieux de ponte et de repos. Des gestes simples réduisent efficacement le risque de présence du moustique à proximité du domicile. Ils sont indispensables pour limiter la prolifération des moustiques et pour protéger votre entourage:

  • Couvrir, jeter, vider tous les récipients pouvant contenir de l’eau !
  • Enlever tous les objets abandonnés dans le jardin ou sur la terrasse qui peuvent servir de récipient.
  • Vider une fois par semaine les soucoupes, vases, seaux.
  • Remplir les soucoupes des pots de fleurs avec du sable mouillé.
  • Vérifier le bon écoulement des eaux de pluie (gouttières…).
  • Entretenir le jardin : élaguez, débroussaillez, taillez, ramassez les fruits tombés et les déchets végétaux, réduisez les sources d’humidité.
  • Couvrir toutes les réserves d’eau à l’aide d’une moustiquaire.

En savoir plus:

Site de l’Agence régionale de santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes->https://www.auvergne-rhone-alpes.ars.sante.fr/le-moustique-tigre-vecteur-de-maladies]

– [Site du Département du Rhône->https://www.rhone.fr/solidarites/sante_publique/lutte_contre_le_moustique_tigre]

– [Site de Entente interdépartementale (EID) Rhône-Alpes

Du POS au PLU

De l’urbanisme règlementaire à l’urbanisme de projet

Institué par la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbains) du 13 décembre 2000, le PLU se substitue au POS comme document d’urbanisme réglementaire.

Le principe reste le même: il définit la destination des différentes zones sur le territoire et les règles d’utilisation et l’occupation du sol qui s’y appliquent. Mais le PLU a des différences notables avec le POS.

  • Le PLU est l’expression d’un projet d’aménagement et d’urbanisme pour la commune, qui doit rechercher le développement durable du territoire. Il constitue le projet d’Aménagement et de Développement Durables (PADD). Ce document constitue le cadre de cohérence du PLU: le zonage et le règlement constituent la traduction des orientations du PADD.
  • Le PLU a une vocation plus opérationnelle puisqu’il doit contenir des orientations d’aménagement et programmation (OAP) destiné à donner des principes d’aménagements à respecter. Les OAP constituent une déclinaison des orientations du PADD.
  • Si le POS s’appuyait sur les zones urbaines (U) et les zones naturelles (N), le PLU distingue les zones urbaines (U), les zones à urbaniser (AU), les zones agricoles (A) et les zones naturelles et forestières (N).

Des normes supracommunales supplémentaires à respecter

Depuis son instauration par la loi SRU, le PLU a connu de nombreuses évolutions législatives issues notamment des lois “Urbanisme et habitat”, “Engagement national pour le logement”, “Engagement national pour l’environnement” ou encore de “modernisation de l’agriculture et de la pêche”. Ces différentes dispositions ont notamment réaffirmé les objectifs de lutte contre l’étalement urbain et de maîtrise de la consommation foncière, de préservation de la biodiversité et des continuités écologiques, d’économie d’énergie de limitation des déplacements….

En outre, localement, le PLU se doit d’être compatible notamment avec:

  • le Schéma de cohérence territoriale (SCOT) de l’Ouest Lyonnais, qui établit des principes, par secteurs géographiques (polarité 4 pour Sarcey), en terme de croissance démographique et de l’habitat (densité, typologie..), de développement urbain et de préservation de espaces agricoles et naturels, de coupure verte de développement économique…
  • le Programme local de l’habitat (PLH) de la Communauté de Communes du Pays de l’Arbresle, qui donne notamment des objectifs sur la production de logements dont les locatifs sociaux.
  • Le Plan de prévention des risques naturels – inondation (PPRNi) Brévenne-Turdine qui comprendre.

Le contenu d’un PLU

Le PLU doit comporter :

  • un rapport de présentation reprenant le diagnostic de la commune, analysant l’état initial de l’environnement, justifiant les choix du projet d’aménagement retenu, évalue ses incidences sur l’environnement et les indicateurs qui permettront de l’apprécier;
  • un Projet d’aménagement et de développement durables (PADD) qui définit les orientations générales de la commune concernant l’urbanisme, la protection des espaces naturels, agricoles et forestiers, la préservation des continuités écologiques, les déplacements, le développement économique et les loisirs…. et fixe des objectifs de modération de la consommation de l’espace et de lutte contre l’étalement urbain;
  • les orientations d’aménagement et de programmation (OAP), qui fixent les principes d’aménagement (desserte, circulation, implantation, habitat, espaces collectifs..) des secteurs de développement urbain;
  • les documents graphiques du règlement délimite les différentes zones (agricoles, naturelles, urbaines, à urbaniser), les servitudes, les emplacements réservés, les éléments remarquables…;
  • un règlement définit les règles applicables à chacune des zones;
  • des annexes reprenant notamment les servitudes et réglementations qui s’imposent au PLU et autre documents à vocation informative.